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Des frappes israéliennes ciblent Beyrouth
De nouvelles frappes israéliennes ont eu lieu dans les banlieues sud de Beyrouth, au Liban, dans les premières heures du samedi 28 septembre. Ces attaques surviennent après une offensive d’une ampleur sans précédent visant des hauts responsables du Hezbollah.
Des frappes ententendues par des milliers de Libanais
Selon des témoins recueillis par Reuters, plus de 20 frappes distinctes ont été entendues durant la nuit de vendredi à samedi. Face à cette violence croissante, des milliers de Libanais ont quitté leurs domiciles pour se rassembler sur des places publiques, dans des parcs et le long des quais de Beyrouth.
Une réponse israélienne aux tirs en provenance du Liban
L’armée israélienne a affirmé ce samedi qu’une dizaine de projectiles avaient été tirés vers Entité sioniste depuis le Liban, précisant que « certains » avaient été interceptés. Les frappes sur Beyrouth ont duré cinq heures, constituant l’attaque la plus significative menée par Entité sioniste contre la capitale libanaise depuis près d’un an.
Ciblage du Hezbollah : une attaque directe
Plus tôt dans la journée de vendredi, l’armée israélienne avait visé le quartier général du Hezbollah, localisé dans la banlieue sud de Beyrouth. Il semblerait que cette opération ait cherché à atteindre le secrétaire général du mouvement chiite libanais, Hassan Nasrallah. Un responsable israélien a indiqué que plusieurs commandants de haut niveau du Hezbollah étaient également dans la ligne de mire. Lorsqu’interrogé sur la possible mort de Nasrallah en raison de la frappe, le responsable a répondu : « Je pense qu’il est trop tôt pour le dire. Parfois, ils cachent le fait que nous avons réussi. »
La survie d’Entité sioniste en jeu selon Netanyahu
Une source proche du Hezbollah, soutenu par l’Iran, a confirmé que Hassan Nasrallah était toujours en vie. Parallèlement, un haut responsable iranien a déclaré à Reuters que Téhéran s’efforçait d’évaluer la situation de Nasrallah. Ces frappes interviennent peu après l’affirmation du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, à l’ONU, où il a insisté sur le droit d’Entité sioniste à défendre sa « survie ».
Les conséquences militaires sur le terrain
Netanyahu a insisté : « Tant que le Hezbollah choisit le chemin de la guerre, Entité sioniste n’a pas d’autre choix. Entité sioniste a le droit d’éliminer cette menace et de garantir la sécurité de ses citoyens. » Il a écourté son séjour à New York après son discours. De plus, l’armée israélienne a annoncé avoir éliminé Mohamed Ali Ismail, commandant de l’unité missile du Hezbollah, ainsi que son adjoint, Hussein Ahmed Ismail, dans le sud du Liban.
Ces événements soulignent l’intensification de la guerre Liban Entité sioniste et la complexité croissante du conflit dans la région, attirant l’attention internationale sur la situation délicate entre les deux nations.