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Le rapport de la Cour des comptes a déterminé qu’il n’existe pas de déficit caché dans le système des retraites, ce qui a été accueilli avec satisfaction par Pierre-Louis Bras, ancien président du Conseil d’orientation des retraites (COR). Il a exprimé son soulagement face à la clarification apportée par cette analyse, remettant en question les accusations précédentes de minimisation du déficit.
Analyse du rapport de la Cour des comptes
Pierre-Louis Bras a résumé, lors d’une interview sur France Culture, que le rapport établit clairement que toutes les données étaient accessibles et pertinentes. Selon lui, « la manière de calculer le solde du COR était parfaitement pertinente ». Ce rapport a été remis à François Bayrou, soulignant que Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes, a affirmé qu’il « n’y a aucun déficit caché ».
Les accusations et la réponse du COR
Le Conseil d’orientation des retraites avait été accusé de minimiser le déficit par des figures politiques telles que François Bayrou et Élisabeth Borne. Bras a réagi à ces accusations, se réjouissant que la thèse controversée ait été écartée, notant que cela avait « pollué le débat sur les retraites au cours des quatre dernières années ».
Un débat clarifié
Pour Bras, la conclusion de la Cour des comptes est un élément crucial qui clarifie les discussions entourant les retraites. Il a souligné que l’idée de « déficit caché » avait presque pris des allures de thèse complotiste, insinuant que le COR et ses membres auraient cherché à dissimuler des informations sur la situation des retraites.
Image du président du COR