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La capitale du Yémen, Sanaa, a été le théâtre de frappes meurtrières qui ont causé la mort de neuf civils, selon les informations rapportées par les rebelles houthis. Ces événements tragiques se sont produits le samedi 15 mars, alors que la situation politique et militaire au Yémen continue de se détériorer.
Les frappes et leurs conséquences
Les Houthis ont déclaré qu’une attaque américano-britannique avait visé un quartier résidentiel du nord de Sanaa. Cette information a été relayée par la chaîne de télévision Al-Massirah, qui est proche des rebelles. En plus des neuf morts, le ministère de la Santé houthi a signalé que neuf autres civils avaient été blessés, la plupart gravement, lors de cette agression.
Réaction de Donald Trump
Peu avant les frappes, le président américain Donald Trump a annoncé sur son réseau Truth Social que les États-Unis avaient mené une action militaire « décisive et puissante » contre les Houthis. Il a affirmé que « nous utiliserons une force létale écrasante jusqu’à ce que nous ayons atteint notre objectif ». Trump a également demandé à l’Iran de cesser son soutien aux Houthis, les qualifiant de « terroristes ».
Contexte des attaques
Le 11 mars, les Houthis avaient déjà annoncé la reprise de leurs attaques contre des navires de commerce au large du Yémen, qu’ils considèrent comme liés à Israël. Ces incidents reflètent l’escalade des tensions dans la région, où les conflits armés persistent depuis plusieurs années.
Images des frappes
Des images montrent la fumée s’élevant d’un quartier de Sanaa après les frappes, illustrant la gravité de la situation.
