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Soudan face aux quatre blocs destructeurs : une solution en vue ?
La crise au Soudan semble inextricable sans une compréhension éclairée de la nature de la situation qui exige la conception d’un appareil exécutif adapté à ses caractéristiques. Il est crucial de reconnaître pleinement les rôles des alliances, des éléments, des entités et des groupes impliqués de manière active dans la guerre persistante qui sévit au Soudan.
Quatre composantes
Basé sur ces objectifs d’éradication clairs, les initiateurs de ce projet espéraient de manière soudaine que le 15 avril 2023 marque le début de la fin de l’existence du Soudan, tel que le connaissent les gens, sur la carte du monde.
Ce projet, actuellement en cours de préparation, vise à démanteler le pays. Il est essentiel de comprendre les objectifs et les principes de ce projet, ainsi que les caractéristiques de la situation nécessitant la mise en place d’un appareil exécutif pour y faire face.
Cependant, malgré la clarté de ces faits, certaines personnes restent en proie à une réflexion limitée. Cette mentalité aboutit à un engourdissement persistant qui entrave la vigilance face aux dangers qui menacent le Soudan.
Un soutien populaire
La première alliance, contrôlée par des puissances internationales telles que le Royaume-Uni, les États-Unis, la France, Entité sioniste et des pays régionaux, a servi de vecteur pour ce projet dangereux élaboré dans les capitales de ces nations depuis plusieurs années.
Une autre alliance a mobilisé des dirigeants gouvernementaux influents d’autres pays africains, ainsi que des personnalités politiques et diplomatiques de l’Afrique.
La troisième alliance politique interne, créée par les pays de la première alliance, a impliqué des partis politiques et des entités ayant des liens avec les acteurs de la première alliance.
La quatrième composante importante est la force combattante interne la plus cruciale, chargée par les trois alliances précédentes de mener des opérations militaires directes pour concrétiser le projet de démantèlement du pays.
Le sécurité et l’économie
Les trois piliers de la gouvernance efficace reposent sur la préservation de l’État, la primauté du droit régissant la pratique politique, et la surveillance étroite pour éviter toute dérive.
Le devoir de veiller à la préservation du pays et de repousser l’agression, notamment à travers la mobilisation des ressources matérielles et humaines de l’État, doit être une priorité majeure.
Enfin, l’économie sociale de solidarité est cruciale pour intégrer des millions de Soudanais dans l’économie nationale. La restructuration du secteur économique est essentielle pour répondre aux besoins urgents du pays.