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Maxime Gleizes appelle les clubs de football à faire preuve de solidarité pour soutenir son frère Christophe Gleizes, condamné à nouveau en appel. Dans ses déclarations, il évoque « un abattement total » et décrit le choc comme un KO, tout en rappelant l’espoir suscité par une accalmie entre la France et l’Algérie. Il souligne que la diplomatie était attendue pour apaiser la situation, et il affirme que le football pourrait devenir un contre-pouvoir face à des décisions perçues comme injustes. Des clubs de Ligue 1, notamment Rennes, Montpellier et Nantes, se sont déjà prononcés, et les discussions avec RSF et la famille Gleizes se poursuivent sur les meilleures options, y compris des recours juridiques, dont la possible grâce présidentielle et des procédures en cassation.
Clubs de Ligue 1 appelés à soutenir Christophe Gleizes
Selon lui, le soutien des clubs de Ligue 1 et d’autres formations participe à faire pression pour une issue plus juste. Il mentionne notamment Rennes, Montpellier et Nantes comme premiers signataires de cet élan, tout en appelant à un mouvement plus large à travers les clubs d’Europe et d’Algérie. Cette démarche s’inscrit dans une logique où le football est perçu comme un contre-pouvoir potentiel face à des décisions jugées défavorables.
Contexte diplomatique et rôle du football comme contre-pouvoir
Le récit rappelle le contexte diplomatique entre la France et l’Algérie et le rôle symbolique que peut jouer le sport. Maxime Gleizes souligne que la diplomatie semblait s’apaiser, mais le football pourrait devenir un levier si l’opinion publique s’en saisit.
Si les diplomaties sont impuissantes, il reste un contre-pouvoir : le foot
a-t-il déclaré, en réaffirmant la possibilité d’une mobilisation sportive au-delà des frontières. En parallèle, il précise que des clubs et des partenaires s’interrogent sur la meilleure manière d’exprimer leur soutien tout en respectant les cadres juridiques et médiatiques.
Options juridiques évoquées et suites possibles
Plusieurs voix évoquent des voies pour une issue potentielle, y compris des recours juridiques et une éventuelle intervention présidentielle. « La grâce présidentielle serait la possibilité de liberté la plus proche, sauf qu’on a appris il n’y a pas longtemps que si on passe en cassation, cette grâce arrêtait la procédure de cassation. » Les proches indiquent aussi être en discussion avec RSF et envisagent les options les plus pertinentes selon l’évolution du dossier.