Table of Contents
Témoignage d’Elle Turner sur l’importance du frottis
La journaliste pour Glamour UK, Elle Turner, a récemment partagé son expérience et son retard de 5 ans pour effectuer son premier frottis. Malheureusement, les résultats ont révélé une présence de cellules cervicales anormales. Elle souhaite aujourd’hui sensibiliser les femmes sur l’importance de ce dépistage.
Une attente trop longue
Elle Turner explique avoir eu de nombreuses excuses pour éviter son rendez-vous chez le gynécologue, entre les échéances professionnelles, la pandémie de Covid et un déménagement. « Au moment où j’ai finalement pris rendez-vous avec un nouveau médecin, j’étais très angoissée à l’idée d’aller faire mon dépistage. Quelle excuse avais-je pour ne pas donner la priorité à ma santé, qui est l’une des choses les plus précieuses que j’ai ? » déclare-t-elle.
Des résultats préoccupants
Après avoir effectué le frottis, Elle a reçu les résultats quelques jours plus tard, et ceux-ci étaient alarmants. « Mes résultats ont montré que j’avais des changements dans certaines cellules de mon col de l’utérus appelés ‘dyscaryose de bas grade’. » Bien que les médecins lui aient assuré que ces cellules anormales n’étaient pas considérées comme cancéreuses, elle a été invitée à revenir pour un examen plus approfondi.
Le chemin vers la guérison
À travers une colposcopie, son gynécologue a pu observer l’état de son col de l’utérus et a décidé de réaliser une biopsie. « Malheureusement, la biopsie a montré que les cellules s’étaient aggravées jusqu’à atteindre le stade CIN 2 », raconte-t-elle. En conséquence, Elle a dû subir une excision électrochirurgicale.
Six mois après l’opération, des cellules anormales étaient encore présentes, bien que minimales. Elle a été conseillée de refaire un frottis dans un an pour un suivi régulier.
Un appel à l’action
Elle Turner conclut avec la promesse de se rendre aux frottis dès qu’elle y est invitée, car « la détection précoce est le meilleur moyen de lutter contre le cancer du col de l’utérus ».