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Wall Street a connu des tensions croissantes suite à la divulgation d’une lettre de licenciement que le président américain, Donald Trump, aurait signée à l’encontre de Jerome Powell, le président de la Réserve fédérale. Bien que Trump ait nié cette information, il n’a pas caché son hostilité envers celui qu’il a nommé en 2018.
Des mots acerbes contre Jerome Powell
Dans le passé, Donald Trump n’a pas hésité à qualifier Powell de manière peu flatteuse, le qualifiant de _« type pas très futé »_ pour avoir refusé de baisser les taux d’intérêt. Sa rancœur envers le président de la Fed, aujourd’hui âgé de 72 ans, a atteint un nouveau sommet le 16 juillet, lorsque le _New York Times_ a révélé qu’une lettre de licenciement destinées à Powell était déjà préparée et avait été discutée avec plusieurs membres républicains du Congrès.
Un impact sur l’économie
Moins de deux heures après que cette information ait été rendue publique, Donald Trump a qualifié cette éventualité de _« hautement improbable »_. Cependant, l’annonce d’une potentielle éviction de Jerome Powell, huit mois avant la fin de son mandat prévu pour mai 2026, a suffi à faire chuter la valeur du dollar et à provoquer des turbulences sur Wall Street, affectant gravement le marché obligataire.
Tensions croissantes à Wall Street
Les inquiétudes liées à la gestion de la Fed par Powell se sont intensifiées, avec des investisseurs qui craignent une instabilité prolongée dans la politique monétaire américaine. Cette situation met non seulement en lumière les relations tendues entre le président et la Réserve fédérale, mais soulève également des questions sur l’avenir économique des États-Unis dans un contexte incertain.
Dans cette atmosphère de défiance, les acteurs du marché surveillent de près les commentaires et les décisions de la Fed, conscients que toute évolution pourrait avoir des répercussions significatives sur l’économie mondiale.