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Le prince Andrew en péril : sa sécurité menacée à Windsor
Le duc d’York se trouve dans une situation délicate et pourrait être amené à quitter sa résidence royale dans un avenir proche. Cette perspective découle d’une décision récente de son frère, le roi Charles III, de supprimer son équipe de sécurité privée.
Un personnage controversé au sein de la famille royale
Depuis plusieurs années, le prince Andrew représente un sujet de tension au sein de la famille Windsor. Accusé d’agressions sexuelles et associé à l’affaire Epstein, il est devenu persona non grata dans la royauté britannique. Déchu de tous ses titres et exclu des événements médiatiques, il continue de résider au Royal Lodge, situé sur le domaine de Windsor. Cependant, il semblerait que la fin de cette période soit imminente, avec des rumeurs quant à un départ prévu pour octobre.
Licenciement de l’équipe de sécurité
Ce week-end, des sources rapportent que le roi a pris la décision de licencier les dix membres de l’équipe de sécurité du prince Andrew. Cette manœuvre pourrait être une façon de le contraindre à quitter sa demeure, estimée à 30 millions de livres sterling, à l’automne prochain. Un informateur a révélé au tabloïd The Sun : « Tout le monde pense que cela implique que le duc doit quitter le Royal Lodge, car quoi d’autre expliquerait la suppression de sa sécurité ? » Il a également mentionné que les agents de sécurité seraient actifs jusqu’à la fin de leur contrat, à la fin d’octobre, sans remplaçants en vue.
Les intentions du roi Charles III
Il est notoire que Charles III souhaite depuis longtemps que son frère parte du Royal Lodge. Des reportages antérieurs indiquent qu’il envisageait de louer le château pour un montant d’un million de livres sterling par an. Toutefois, le prince Andrew détient un atout : un bail de 75 ans, signé en 2003, qui ne prendra fin qu’en 2078. Ce bail, accordé par le Crown Estate, stipule qu’Andrew doit effectuer divers travaux d’entretien sur la propriété, ce qui le met dans une position délicate.
Les implications financières et légales
Le contrat de bail exige également qu’Andrew entretienne la propriété, un engagement qui lui a déjà coûté 7,5 millions de livres en travaux depuis son emménagement. La détermination de Charles III pourrait l’amener à réduire l’allocation annuelle qu’il offre à son frère, ou même à envisager des actions en justice. Cependant, une telle mesure risquerait de nuire à l’image de la famille royale, un scénario peu souhaitable pour la monarchie britannique.
Un dilemme pour le duc d’York
Il a été révélé plus tôt cette année qu’Andrew a rejeté une offre pour déménager à Frogmore Cottage, un lieu situé à proximité, anciennement occupé par Harry et Meghan. Les tensions entre les deux frères ne semblent pas prêtes de s’apaiser. Selon des sources, Charles pourrait priver Andrew des 4 millions de livres qu’il reçoit annuellement de la part du roi, une situation qui complexifie encore davantage la position du prince Andrew. « Ce n’est pas un secret, le roi veut qu’il parte », affirme une source proche de la cour.