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Le récent départ d’Anne-Sophie Lapix du journal télévisé de 20 heures de France 2 a fait vivement réagir, mais c’est son attitude inattendue sur le plateau qui a véritablement marqué les esprits. Deux jours après l’annonce officielle par France Télévisions de la fin de sa collaboration en tant que présentatrice du journal, la journaliste a surpris les téléspectateurs en adoptant une attitude ludique et décontractée lors de l’enregistrement du bulletin.
Une sortie en chanson qui fait sensation
Alors qu’elle introduisait différents reportages, Anne-Sophie Lapix n’a pas résisté à l’envie de chanter à plusieurs reprises des morceaux célèbres, créant ainsi une atmosphère détendue et spontanée. Elle a entamé des chansons comme « Il en faut peu pour être heureux » tirée du film Le Livre de la Jungle, mais aussi « La Java de Broadway » de Michel Sardou, « La Grenade » de Clara Luciani, ou encore « J’me voyais déjà » d’Aznavour. Cette générosité musicale a été appréciée par une partie du public et observée comme une façon de bousculer les conventions du journalisme traditionnel.
Une fin de journal dans la légèreté
Pour clôturer son émission, Anne-Sophie Lapix a récidivé avec une performance vocale, ce qui a suscité de nombreux commentaires sur les réseaux sociaux. Certains ont salué son audace, soulignant qu’elle n’avait visiblement rien à perdre dans cette dernière apparition à la tête du JT. Sur la plateforme X, un utilisateur a même écrit : « En tout cas, elle est audacieuse et bouscule les codes… Un peu de gaieté et d’autodérision ne peuvent pas faire de mal. »
Un départ annoncé, mais surprenant
Le groupe France Télévisions avait précédemment confirmé le départ d’Anne-Sophie Lapix, annoncé comme une occasion pour la chaîne de préparer de nouveaux projets et de renouveler son équipe de journalistes. Si aucune succession n’a encore été précisée, cette démarche marque une nouvelle étape dans la carrière de la journaliste connue pour son sérieux et son professionnalisme, mais aussi pour ses moments de spontanéité comme celui-ci.
Cette attitude décomplexée aura sans doute laissé une impression mêlée d’étonnement et de sympathie auprès du public, illustrant que même dans un cadre traditionnel, il est possible d’intégrer un peu de légèreté et d’autodérision.