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Une vague d’inquiétude s’est récemment propagée à Toulouse lors de la fête de la musique, suite à plusieurs signalements de piqûres suspectes sur des festivaliers. La police a rapidement intervenu après que plusieurs victimes ont décrit des échardes ou piqûres sauvages, alimentant une recherche d’individu potentiellement responsable. Une personne a été arrêtée dans la nuit de samedi à dimanche, après que les images de vidéosurveillance ont permis de l’identifier comme suspect.
Une affaire qui suscite la psychose et l’enquête policière
Les autorités ont reçu une dizaine d’appels concernant des incidents autour de la place Saint-Pierre, lieu central des festivities, ainsi que dans d’autres quartiers comme boulevard Carnot, où un adolescent a été transporté à l’hôpital avec une blessure ressemblant à une piqûre. La victime mentionne un hématome de la taille d’une pièce d’un euro sur l’épaule gauche. La police étudie si ces blessures sont liées à une véritable attaque ou à un phénomène d’hystérie collective.
L’individu suspect arrêté à Toulouse
Le suspect, un Toulousain de 28 ans inconnu des services de justice, a été appréhendé grâce aux images de vidéosurveillance par la brigade anticriminalité. Selon les premiers éléments, il est en garde à vue pour être entendu. La police continue ses investigations pour déterminer s’il est à l’origine de ces piqûres ou si d’autres individus sont impliqués.
Une situation confuse ailleurs en France
Dans d’autres villes telles que les Sables-d’Olonne ou Agen, aucun incident de piqûres sauvages n’a été officiellement confirmé malgré quelques appels et rumeurs. À Agen, la fête a aussi été marquée par des événements culturels variés, avec des concerts dans des lieux insolites tels que l’hôpital ou l’école, témoignant de la diversité et de la poésie des célébrations musicales.
Une tendance inquiétante mais non confirmée
Il y a un an, lors de la fête de la musique aux Sables-d’Olonne, deux jeunes filles avaient été légèrement blessées par des piqûres, mais aucune plainte n’a été déposée cette année. Les autorités rappellent qu’il faut faire preuve de prudence face à ces rumeurs, tout en restant vigilantes face à de potentielles attaques réelles. La situation est encore en cours d’évaluation, et la question de la présence d’un ou plusieurs agresseurs reste ouverte.