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Lors de la récente conférence de sécurité à Munich, le président des États-Unis, Donald Trump, a exprimé son admiration pour le discours de son vice-président, JD Vance. Vance a plaidé pour que l’Europe accepte des perspectives alternatives, tout en défendant le droit fondamental à la liberté d’expression.
Un discours remarquable sur la liberté d’expression
Trump a déclaré avoir écouté le discours de Vance, qui a souligné que l’Europe était en train de perdre ses droits à la liberté d’expression. « Je pense que c’est vrai que ce merveilleux droit est en déclin », a commenté Trump lors d’une déclaration aux médias dimanche.
Il a qualifié le discours de Vance de « très bon, très brillant », ajoutant que celui-ci avait été bien reçu par l’audience présente.
Critique des idéaux démocratiques
Dans son allocution, Vance a critiqué le public de Munich pour son éloignement des idéaux démocratiques, en particulier concernant la restriction de contenus étiquetés comme « désinformation » sur les réseaux sociaux. Il a également dénoncé le fait de faire taire des voix conservatrices et chrétiennes.
Inquiétudes sur l’immigration
Vance a fait remarquer que les électeurs choisissent de plus en plus des « leaders politiques qui promettent de mettre fin à l’immigration incontrôlée », des préoccupations qu’il a jugées légitimes.
Priorités de l’administration Trump
Ce discours a également été présenté comme une défense des valeurs et mouvements politiques conservateurs en Europe, à un moment où beaucoup attendaient que l’administration Trump définisse ses priorités concernant l’OTAN et les négociations avec la Russie sur la guerre en Ukraine.
Les représentants de Trump à Munich, JD Vance et Keith Kellogg, l’envoyé des États-Unis pour l’Ukraine et la Russie, ont clairement indiqué que la paix et la reconstruction se feraient sans l’implication de l’Europe. Kellogg a encouragé l’Europe à participer aux discussions sur le conflit tout en précisant que celle-ci ne détiendrait pas le dernier mot sur la résolution de la crise.