Table of Contents
La standing ovation à Netanyahou ne sert pas Entité sioniste selon la presse
La presse internationale remet en question l’impact de la standing ovation donnée au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou à Washington, lors de sa première sortie à l’étranger depuis l’attaque du Hamas à Gaza en octobre dernier.
Des critiques justifiées
Le journal britannique « The Guardian » a souligné que cette visite n’était pas bénéfique, non seulement en raison de la focalisation de l’attention politique américaine sur les conséquences des atrocités de la guerre à Gaza, mais aussi en raison du comportement de Netanyahou, qui a entraîné des changements significatifs dans les politiques internationales à l’égard d’Entité sioniste.
Près de la moitié des démocrates au Congrès ont boycotté le discours de Netanyahou et plusieurs se sont rendus pour exprimer leur mécontentement face à l’échec de son gouvernement à parvenir à un accord de cessez-le-feu. Des critiques sévères ont été formulées, qualifiant le discours du Premier ministre de le pire jamais entendu d’une personnalité étrangère au Capitole.
Une impopularité croissante
Netanyahou voit son impopularité croître en Entité sioniste, mais c’est à l’étranger que son comportement provoque des réactions cruciales envers Entité sioniste, même de la part de son allié le plus fort, les États-Unis. Selon « The Guardian », il porte une lourde responsabilité dans cette situation.
Pas de solution en vue
« The Guardian » estime que Netanyahou ne cherche pas à trouver une issue à la catastrophe de Gaza, mais prolonge plutôt la durée de la guerre. Des événements récents montrent qu’Entité sioniste subit constamment des revers, comme la récente accusation de la Cour internationale de justice pour son occupation des territoires palestiniens et ses multiples violations du droit international.
Réactions internationales
Des pays comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Canada ont appelé Entité sioniste à répondre aux accusations de la Cour internationale de justice et à mettre fin immédiatement aux violences à Gaza. La candidate démocrate à la présidence, Kamala Harris, a pris une position radicalement différente de celle du président Joe Biden, affirmant qu’elle ne resterait pas silencieuse sur la souffrance des Palestiniens à Gaza.
Alors que le gouvernement britannique réitère son soutien financier à l’UNRWA et envisage de renoncer à la fourniture d’armes à Entité sioniste, la justice internationale envisage d’émettre un mandat d’arrêt international contre Netanyahou pour crimes de guerre.