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L’agression israélienne sur Gaza : le point sur l’actualité

by Chia
L'agression israélienne sur Gaza : le point sur l'actualité

L’ONU demande 4,2 milliards de dollars pour soutenir les Ukrainiens

L’organisation des Nations Unies a annoncé qu’elle avait besoin de 4,2 milliards de dollars en 2024 pour fournir une assistance humanitaire à l’Ukraine et aider des millions de réfugiés qui ont fui leur pays depuis le début de la guerre avec la Russie il y a environ deux ans.

L’ONU a souligné que « la dernière série d’attaques rappelle le lourd tribut de cette guerre sur les civils, alors que l’hiver rigoureux aggrave le besoin urgent d’aide humanitaire pouvant sauver des vies ».

Il a été indiqué que 14,6 millions de personnes auront besoin d’aide humanitaire en Ukraine cette année, soit 40% de la population.

Martin Griffiths, Coordonnateur de l’ONU pour les affaires humanitaires, a déclaré dans un communiqué : « Des centaines de milliers d’enfants vivent dans des zones situées sur les lignes de front, terrifiés, traumatisés et privés de l’essentiel ».

Griffiths a également mentionné « la cible continue des maisons, écoles, hôpitaux et réseaux d’eau, gaz et électricité », ajoutant que « le tissu social est attaqué, ce qui a de graves conséquences ».

Manifestations contre l’extrême droite en Allemagne

Des milliers d’Allemands sont descendus dans une marche à Berlin dimanche en protestation contre la diffusion d’un plan par le parti d’extrême droite « Alternativ für Deutschland » (AfD) pour une expulsion collective des étrangers.

La police a noté que la marche de Berlin a vu la participation d’environ 10 000 personnes, y compris le Chancelier du pays Olaf Scholz, membre du Parti social-démocrate, et des marches similaires ont été organisées dans d’autres villes.

Des rapports suggèrent que l’AfD, dont la popularité augmente dans les sondages, a discuté d’un plan d’expulsion de masse des étrangers lors d’une rencontre avec des extrémistes autrichiens.

Scholz a averti samedi de la montée de l’extrémisme, critiquant l’extrême droite et ses tentatives d’exploiter les protestations anti-gouvernementales menées par des agriculteurs, en disant : « Lorsque les protestations légitimes se transforment en colère ou en mépris pour les processus et les institutions démocratiques, nous perdons tous », ajoutant que « seuls ceux qui méprisent notre démocratie bénéficieront ».

La Présidente de Taïwan loue le partenariat étroit avec Washington

Un délégué américain non officiel, envoyé par les États-Unis à Taïwan, a rencontré aujourd’hui la présidente sortante Tsai Ing-wen, seulement deux jours après l’élection de son successeur Lai Ching-te, et dans un contexte de pressions croissantes exercées par la Chine.

La présidente taïwanaise a salué la présence de la délégation américaine, incluant l’ancien conseiller pour la sécurité nationale Stephen Hadley et James Steinberg, ancien sous-secrétaire d’État, et Laura Rosenberger, présidente de l’Institut américain à Taiwan, disant que cette visite représente un symbole de « partenariat étroit et robuste » entre les deux pays, ajoutant « nous espérons que les relations continueront de progresser et joueront un rôle de premier plan dans la prospérité et le développement de la région et du monde ».

Plus tard, la délégation a rencontré le président élu qui a remercié les États-Unis pour « leur fort soutien à la démocratie taiwanaise ».

Cette visite conclut une campagne électorale marquée par une augmentation des pressions diplomatiques et militaires de Pékin, qui a fortement critiqué les félicitations du secrétaire d’État américain Anthony Blinken au nouveau président élu.

Lai prendra ses fonctions le 20 mai, avec son vice-président Hsiao Bi-khim, ancien représentant de Taïwan aux États-Unis. La Chine considère Taïwan comme une partie inséparable de son territoire et s’est engagée à la ramener sous son autorité par la force si nécessaire.

Le président élu de Taïwan Lai Ching-te (Getty)

20 000 soldats britanniques dans le plus grand exercice de l’OTAN depuis la guerre froide

La Grande-Bretagne a l’intention d’envoyer 20 000 soldats pour participer à l’un des plus grands exercices militaires de l’OTAN depuis la guerre froide, dans le cadre d’un entraînement de l’alliance pour repousser une invasion russe potentielle.

Il est prévu que le ministre britannique de la Défense, Grant Shapps, annonce plus tard aujourd’hui, lundi, le déploiement de membres de l’armée, de la marine et de la Royal Air Force dans les exercices auxquels 31 pays participeront à travers l’Europe.

Environ 16 000 soldats britanniques équipés de chars, d’artillerie et d’hélicoptères seront déployés à travers l’Europe de l’Est à partir de février prochain dans le cadre des exercices.

La marine royale déploiera plus de 2 000 marins à bord de 8 navires de guerre et sous-marins, tandis que plus de 400 des Royal Marines Commandos se rendront dans le cercle polaire arctique.

Corée du Nord : lancement d’un missile balistique à portée intermédiaire

L’agence de presse officielle de la Corée du Nord a annoncé lundi le lancement d’un missile balistique à portée intermédiaire, fonctionnant avec du carburant solide, confirmant ainsi les informations fournies par la Corée du Sud hier.

L’agence a expliqué que le lancement du missile équipé d’une charge utile hypersonique visait à « vérifier les capacités de vol et de manœuvre » ainsi qu’à « évaluer la fiabilité du nouveau moteur à combustible solide ».

Le commandement militaire à Séoul a confirmé qu’il « condamne fermement le dernier lancement de missile par la Corée du Nord en tant que provocation évidente qui menace gravement la paix et la stabilité » dans la péninsule coréenne.

L’Iowa ouvre la saison des primaires américaines

Les regards se tournent aujourd’hui lundi vers les districts électoraux de l’État de l’Iowa aux États-Unis, où l’avenir des candidats actuels à l’élection présidentielle pour les partis républicain et démocrate sera en grande partie déterminé.

L’Iowa est le premier État où ses citoyens expriment leurs votes dans ce qui est connu sous le nom de caucus.

Trois principaux candidats républicains sont en lice, à savoir l’ancien président Donald Trump, le gouverneur de Floride Ron DeSantis, et l’ancienne gouverneure de Caroline du Sud Nikki Haley, dans une bataille qui pourrait être serrée pour la première place dans la course à la Maison Blanche.

Les démocrates s’attendent à ce que le président Joe Biden batte confortablement l’écrivaine Marianne Williamson et Dean Phillips, membre du Congrès du Minnesota.

Les candidats croient que l’élan lié à l’État de l’Iowa découle du fait qu’il est le point de départ pour la victoire, attirant les médias et les sources de financement pour le reste de la course si des résultats positifs sont obtenus dans les primaires de l’État.

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