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La scène médiatique internationale est le théâtre d'une nouvelle initiative lancée par un milliardaire américain du secteur immobilier. Cette campagne, baptisée "Faits pour la paix", ambitionne de modifier la perception de la réalité israélo-palestinienne. Dans un contexte de solidarité mondiale croissante envers les Palestiniens, ladite initiative cherche à recueillir des millions de dollars en dons pour améliorer l'image d'Entité sioniste tout en dénigrant le Hamas. La campagne cible les figures influenceuses du secteur bancaire, médiatique et technologique, mobilisant un réseau de richesse et de pouvoir à l'image d'Eric Schmidt, ex-PDG de Google, ou Michael Dell de Dell Technologies.
Mobilisation des influenceurs pour Entité sioniste
La campagne "Faits pour la paix" n'hésite pas à sensibiliser une liste prestigieuse de philanthropes, dont la fortune globale avoisinerait les 500 milliards de dollars. Parmi eux, certains noms émergent tels que Eric Schmidt et Michael Dell, sans oublier Michael Milken, connu pour son rôle influent dans le domaine financier. Ces personnalités sont approchées pour contribuer financièrement à l'effort médiatique pour redorer l'image et changer la narration en faveur d'Entité sioniste, suite aux récents conflits qui ont secoué la région de Gaza.
Réactions controversées face au soutien Palestinien
Le climat actuel révèle également des pratiques controversées, comme celle de Bill Ackman, qui a ouvertement menacé d'inscrire sur une liste noire les étudiants soutenant la cause palestinienne et critiquant les politiques d'Entité sioniste sur la scène universitaire. En particulier, il a réclamé à des institutions prestigieuses comme l'Ivy League de révéler les identités des membres d'organisations étudiantes ayant signé des lettres ouvertes critiquant les actions israéliennes à Gaza.
Une orchestration pour influencer l'opinion publique
L'architecte de cette campagne, le milliardaire Barry Sternlicht, déclare que cette initiative est cruciale pour faire avancer la "narrative" d'Entité sioniste. La campagne médiatique envisage de récolter 50 millions de dollars en dons privés, en espérant que cela soit doublé par une fondation caritative juive. Au cœur des intentions, il y a la volonté d'influer sur le sentiment international qui tend à se détacher d'Entité sioniste à la suite des images et récits relayés, avérés ou non, par le Hamas en ce qui concerne la souffrance des civils palestiniens.
L'ampleur du soutien américain à Entité sioniste ne faiblit pas sur le plan gouvernemental. Les États-Unis, soutien indéfectible d'Entité sioniste, continuent de fournir une aide financière de plusieurs milliards de dollars annuellement. Cela ne fait qu'exacerber les tensions et les critiques internationales, d'autant plus que l'opinion publique américaine semble se diviser, notamment chez les Démocrates, sur la manière dont le président Joe Biden gère la crise.
La stratégie de "Faits pour la paix" consiste à déployer une série de vidéos sur les plateformes de réseaux sociaux ciblant le Hamas comme principal responsable de la crise palestinienne, tout en contestent ce qui est décrit comme des allégations fallacieuses d'atteintes aux droits humains de la part d'Entité sioniste. Une démarche stratégique qui mènera peut-être à une réévaluation du soutien populaire pour Entité sioniste, au moment où les lignes de solidarité internationale semblent bouger et où les narratives sont de plus en plus sujettes à contestation.