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Depuis l’attaque aérienne d’une ampleur sans précédent en Ukraine, Donald Trump a déclaré qu’il envisageait de nouvelles sanctions contre la Russie. Les médias français décrivent une frappe qui a touché Kiev et d’autres régions, et les chiffres du bilan varient selon les autorités. Dans le contexte international, les appels à durcir les mesures économiques se multiplient, sans qu’un consensus clair émerge encore.
Trump veut de nouvelles sanctions contre la Russie
Lors d’une intervention à la Maison Blanche, Donald Trump a déclaré: « Oui, je le suis ». Il a ensuite ajouté: « Je ne suis pas content. Je ne suis pas content de la situation dans son ensemble ». L’attaque, menée par la Russie contre l’Ukraine, a impliqué 810 drones et 13 missiles, et a été décrite comme l’attaque aérienne la plus importante depuis le début de la guerre en février 2022. L’attaque contre Kiev a endommagé pour la première fois le bâtiment où siège le gouvernement ukrainien, au cœur de la capitale.
Réactions et appels à des actions plus fortes
Volodymyr Zelensky a déclaré sur les réseaux sociaux: « De tels meurtres aujourd’hui, quand la diplomatie réelle aurait pu commencer il y a longtemps, sont un crime délibéré et une prolongation de la guerre ». La Première ministre ukrainienne Ioulia Svyrydenko a dit que « le monde doit répondre à cette destruction non seulement par des mots, mais par des actions ». Le chef de file budgétaire Scott Bessent a assuré que les États-Unis étaient « prêts à faire monter la pression » sur la Russie, appelant les Européens à faire de même. Donald Trump a par ailleurs menacé de s’en prendre aux pays qui achètent des hydrocarbures à la Russie afin de saper le financement de son effort de guerre.
Chiffres et bilans en confrontation
Selon l’armée de l’air ukrainienne, l’attaque a impliqué 810 drones et 13 missiles. Le bilan humain diffère selon les autorités: cinq morts selon certaines sources et six morts selon d’autres, et d’autres éléments mentionnent des victimes et des dommages dans diverses régions. Les cibles visées incluaient des installations gouvernementales et des infrastructures militaires dans l’est, le sud et le centre du pays.