Table of Contents
Le gouvernement Lecornu 2 a été dévoilé dimanche soir, présenté comme un « gouvernement de mission », mêlant « société civile », « profils expérimentés et de jeunes parlementaires », avec lequel il entend déposer un projet de budget à temps. Le cabinet compte 34 ministres et voit l’arrivée de profils variés, tandis que plusieurs poids lourds, comme Élisabeth Borne ou Manuel Valls, s’en éloignent. À Matignon, les ministres se réunissent pour planifier les premiers mois de travail et tracer les grandes lignes du calendrier budgétaire.
À Matignon, Lecornu présente le nouveau gouvernement et le calendrier budgétaire
Selon les éléments relayés, le Premier ministre Sébastien Lecornu décrit ce « gouvernement de mission » comme un mélange de « société civile », « profils expérimentés et de jeunes parlementaires », avec l’objectif de déposer un budget à temps. Le dispositif est conçu pour privilégier l’efficacité, la stabilité et l’ouverture, en particulier sur les premières mesures budgétaires.
- 34 ministres au total
- huit issus de la société civile
- six Républicains entrent ou restent
- Élisabeth Borne et Manuel Valls sortent du gouvernement

Composition et profils: société civile, techniciens et tensions
La composition est présentée comme un équilibre entre société civile et techniciens. Selon les sources, huit ministres proviennent de la société civile et plusieurs cadres expérimentés prennent place dans les portefeuilles clefs. Le départ d’Élisabeth Borne et de Manuel Valls est relevé comme une rupture avec le précédent exécutif.
- 34 ministres au total
- 8 issus de la société civile
- plusieurs techniciens dans les postes clés
- départs de Borne et Valls

Réactions et défis budgétaires
Les réactions publiques sur cette organisation sont multiples. Bruno Retailleau a résumé le sentiment de certains élus en déclarant : « Je suis libre, je suis un homme très libre ». Jordan Bardella a tiré son propre parallèle en disant: « Il n’y a que deux partis qui sont très clairs aujourd’hui, et ça me fait mal de le dire, mais c’est La France insoumise et nous » selon les comptes rendus des journalistes politiques. Dans le cadre des discussions budgétaires, Romain Eskenazi (PS) relaie les propos de Lecornu en estimant: « Nous sommes prêts à assurer une stabilité pour le pays, dans l’intérêt supérieur de la nation, mais au prix de mesures de justice. »